Riassunto analitico
Nel mondo ci sono più di un miliardo di persone con disabilità, che ogni giorno devono confrontarsi con ostacoli sociali, ambientali, culturali e linguistici di una società con non li rappresenta appieno. L’obbiettivo di questo studio è quello di confrontare le misure e gli sforzi intrapresi da due paesi europei, Italia e Francia, e rispondere così alla problematica attorno alla quale si snoda l’intero elaborato: italiano o francese, qual è la lingua più inclusiva? Due sono stati i metodi usati per cercare una risposta a questa domanda. Nella prima parte della tesi ci si è basati su un approccio teorico. Infatti, attraverso l’analisi di numerosi libri e testi di legge, sono stati individuati i fattori storici, legislativi, sociali e culturali volti alla promozione dell’inclusione sociale delle persone con disabilità all’interno della comunità. Sono selezionate, così, le misure storico-legislative più importanti e incisive intraprese da entrambi i paesi al fine di eliminare qualsiasi forma di barriera socio-ambientale e garantire alle persone con disabilità pari diritti e opportunità. La seconda parte dell’elaborato, invece, è di tipo sperimentale. A partire dalla creazione di un corpus linguistico composto da 60 documenti, 30 in francese e 30 in italiano, è stata effettuata una comparazione terminologica mediante un’analisi testuale e linguistica dei testi proposti, al fine di comprendere come i due paesi trattano la tematica della disabilità. Dallo studio terminologico del corpus, è emerso che le due lingue utilizzano approcci differenti. Se da una parte, la lingua italiana preferisce termini politically correct riferendosi al deficit in modo indiretto, cioè attraverso diversi espedienti come la negazione (“non vedente”), dall’altro lato la lingua francese predilige un approccio diretto e oggettivo, citando direttamente la tipologia di disabilità (“personne aveugle”). Queste scelte terminologiche derivano da due stili collettivi diversi. Laddove l’italiano presenta uno stile collettivo soggettivo, caratterizzato maggiormente da una forma di pietismo per i sofferenti e da una forma mentis giudicante, il francese mostra uno stile collettivo oggettivo, neutro e distaccato, che giustifica l’utilizzo di termini “forti” quando si parla di disabilità. I risultati emersi dalla ricerca da un lato, dunque, confermano come entrambi i paesi abbiano adottato misure importanti volte all’inclusione sociale delle persone con disabilità, ma dall’altro evidenziano come gli approcci terminologici scelti siano diversi e comunque entrambi criticabili. Tuttavia, il vero problema, che a mio avviso rimane centrale, riguarda l’effettiva applicazione e dunque l’efficacia delle misure legislative intraprese. Ulteriori ricerche potrebbero essere volte, mediante per esempio analisi statistica, a verificare la reale applicazione e l’eventuale implementazione delle leggi promulgate e quindi la ricaduta effettiva sulle condizioni di vita nei due paesi.
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Abstract
Le monde compte plus d’un milliard de personnes en situation d’handicap qui, tous les jours, doivent faire face aux obstacles sociaux, environnementaux, culturels et linguistiques d’une société qui ne les représente pas totalement. L’objectif de la présente étude est celui de confronter les mesures et les efforts déployés par deux pays européens, Italie et France, et répondre ainsi à la problématique autour de laquelle se développe le document entier : italien ou français, quelle est la langue la plus inclusive ?
Les méthodologies utilisées pour répondre à cette question ont été deux. Dans la première partie du mémoire, on s’est basé sur une approche théorique. En effet, à travers l’analyse de nombreux livres et textes de loi, ont été individués les facteurs historiques, législatifs, sociaux et culturels visant à la promotion de l’inclusion sociale des personnes en situation d’handicap au sein d’une communauté. Ainsi ont été sélectionnées les mesures historiques et législatives les plus importantes et incisives mises en place par les deux pays afin d’éliminer toute forme de barrière socio-environnemental et de garantir droits égaux et de chances aux personnes handicapées. En revanche, la deuxième partie du mémoire est de nature expérimentale. À partir de la création d’un corpus linguistique composé de 60 documents, 30 en langue française et 30 en langue italienne, une comparaison terminologique a été effectuée à travers une analyse textuelle et linguistique des textes proposés, dans le but de comprendre comment les deux pays abordent le sujet du handicap. L’étude terminologique du corpus a montré que les deux langues utilisent deux approches différentes. Si, d’un côté, la langue italienne préfère des termes politically correct pour se référer au déficit de façon indirecte, c’est-à-dire à travers des expédients linguistiques comme la négation (« non vedente »), de l’autre côté la langue française privilégie une approche directe et objective citant directement la typologie de handicap (« personne aveugle »). Ces choix terminologiques résultent de deux styles collectifs différents. Là où l’italien présente un style collectif subjectif, caractérisé par une forme de piétisme pour les êtres qui souffrent et par une forma mentis qui juge, le français montre un style collectif objectif, neutre et détaché, qui justifie l’utilisation de termes « forts » lorsqu’on parle du handicap.
Les résultats obtenus de la recherche confirment, d’un côté, que tous les deux pays ont adopté des mesures importantes visant à l’inclusion sociale des personnes en situation d’handicap. Toutefois, de l’autre côté, ils soulignent que les approches terminologiques choisies sont différentes et de toute façon critiquables. Cependant, le vrai problème, qui à mon avis demeure central, concerne l’application effective et, donc, l’efficacité des mesures législatives déployées. Des recherches supplémentaires pourraient être conduites, à travers des analyses statistiques, afin de vérifier l’application réelle et l’éventuelle implémentation des lois promulguées et, donc, l’impact effectif sur les conditions de vie dans les deux pays.
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