Riassunto analitico
L’argomento di questa tesi è, come dichiarato nel titolo, la traduzione di testi specialistici; più precisamente nell’ambito della legatoria d’arte. L’ obiettivo è evidenziare quanto ridotta sia attualmente la terminologia specifica italiana in questa disciplina rispetto ad altri paesi come, ad esempio la Francia e a tal fine il discorso è diviso in quattro capitoli. I primi due fungono da introduzione; il primo a quest’arte, non a tutti conosciuta mentre il secondo ribadisce lo stretto legame tra termini e conoscenza, tra terminologia e saperi. La proposta di traduzione e un sintetico glossario tematico sono seguiti dal capitolo finale nel quale vengono esposte le difficoltà maggiori del lavoro svolto e le motivazioni delle scelte traduttive adottate. L’utilizzo esclusivo di dizionari e banche dati ufficiali e complete, come ad esempio TERMIUM Plus o Le Grand Dictionnaire Terminologique (GDT), ha contribuito a fornire una base solida e precisa al lavoro svolto. Ma il lavoro più complicato è stato sicuramente tentare di colmare quelle mancanze culturali che hanno fatto sì che tuttora nei discorsi e nei testi specialistici italiani sulla legatoria d’arte vengano utilizzati molti termini stranieri (soprattutto francesi) a causa della mancanza di equivalenti italiani. Con coerenza e professionalità sono stati approfonditi vari aspetti storici al fine di ricostruire un lessico trascurato. Spero sia percepibile l’interdisciplinarietà caratteristica di questa tesi in cui si mescola indissolubilmente terminologia e cultura. I valori che caratterizzano la proposta traduttiva sono gli stessi che si ricercano nella disciplina della terminologia, e che in questa tesi svolgono un ruolo chiave: precisione, chiarezza e coerenza.
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Abstract
Le sujet de ce mémoire porte, comme il est indiqué dans le titre, sur la traduction de textes de spécialité ; plus précisément dans le domaine de la reliure d'art. L'objectif est de polariser l’attention sur l’absence d’un bagage terminologique spécifique d’usage pour la langue italienne. Actuellement, c’est la langue française qui se taille la part du lion dans ce domaine. Cette étude est divisée en quatre chapitres. Les deux premiers chapitres font office d’introduction ; le premier à cet art, tandis que le second souligne le lien vraiment étroit entre les termes et la connaissance, entre la terminologie et le savoir. Ma proposition de traduction et le glossaire thématique sont suivis du dernier chapitre dans lequel Je me penche à expliquer les principales difficultés du travail effectués et les raisons portant sur les choix effectués dans ma proposition de traduction.
Le recours aux dictionnaires terminologiques et à une sélection de bases de données tels que : TERMIUM Plus ou Le grand dictionnaire terminologique (GDT), a contribué à fournir une base solide et précise au travail effectué. Cependant le travail le plus compliqué a certainement été la tentative de combler ces lacunes culturelles qui ont conduit au fait que de nombreux termes étrangers (surtout français) sont encore utilisés dans les textes, écrits et oraux, italiens et dans les textes de spécialité sur la reliure d'art, en raison du manque d'équivalents italiens. Avec cohérence et professionnalisme, divers aspects historiques ont été étudiés afin de reconstruire un lexique un peu oublié. J'espère qu'il est possible de percevoir le caractère interdisciplinaire de cette mémoire dans lequel terminologie et culture sont indissolublement mêlées entre elles.
Les valeurs qui caractérisent ma proposition de traduction sont les mêmes qu’il faut rechercher dans la discipline de la terminologie, et qui jouent un rôle clé dans ce mémoire thèse c’est-à-dire : précision, clarté et cohérence.
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